Merci mon amoureux pour ce merveilleux poème...
que je ne résiste pas à partager avec nos CréAmi(e)s
Un seul aurait suffi où j'aurais dit : « je t'aime »
Mais tu me connais bien quand je lève mon encre
Sur un quatrain bien vite la rime s'échancre
Et le tercet s'allonge au gré de mon poème
Le quatrain suffisait où j'aurais dit : « je t'aime »
À quoi bon s'arrêter puisque l'élan m'a pris
J'ouvre un peu plus mes bras au vent qui me sourit
Il me souffle à l'oreille une idée que je sème
Un sonnet suffisait où j'aurais dit : « je t'aime »
Il aurait pour cela fallu me retenir
S'arrêter à ce vers, ne plus y revenir
Il est déjà trop tard, voici le quatrième !
Trois quatrains suffisaient où j'aurais dit : « je t'aime »
Mais je ne compte plus, les chiffres se mélangent
Tout autant que d'amour à offrir à mon ange
Que celui qu'elle écrit et dont il est le thème
Tous ces mots suffisaient où j'aurais dit : « je t'aime »
Mais tu as mis en moi la drôle d'habitude
D'étirer ma pensée jusqu'à la plénitude
Comme autant de diamants sertis en diadème
La page aurait suffi où j'aurais dit : « je t'aime »
Nous voulions la tourner une dernière fois
Ensemble et pour toujours et signée « Toi et Moi »
Mais c'était sans compter ce drôle d'anathème
Ma vie aurait suffi où j'aurais dit : « je t'aime »
Mais cette poésie joue de l'éternité
Sous les doigts d’Érato, écoutons la chanter
Dans la ruche étoilée, les abeilles essaiment
L'univers suffisait où j'aurais dit : « je t'aime »
Mais il paraît pourtant que Dieu ou le Quantique
Ont ordonné la vie d'Après Métaphysique
À l'aune d'un Big Bang et du Pareil au même
Ton corps m'aurait suffi où j'aurais dit : « je t'aime »
Je ne saurai pourtant jamais où se termine
Et le creux de ta main quand elle vient et chemine
Et ton sourire enfin quand je goûte à sa crème
Ton cœur me suffisait où j'aurais dit : « je t'aime »
Et d'années en années, nous regarder vieillir
Un poème d'amour qui ne veut pas mourir
La faim que j'ai de toi ne finit que par M
Mon bonheur suffisait où j'aurais dit : « je t'aime »
De l'écrire un peu plus et de l'écrire encore
Toujours et à jamais, à la vie à la mort
Pour finir en fantôme et qu'on se dise « idem »
Plus rien ne suffira quand je dirai : « je t'aime »
Que cette phrase courte aussi douce que belle
Trois petits mots de rien qui vont en ribambelle
S'amuser sur ta bouche en baisers de phonèmes
Comme il est doux d'aimer, de te dire : « je t'aime »
Et d'aller aussi loin que ce vers cinquanti'aime !
LACRYMA - 28/02/2016
Encore Merci pour ce superbe bouquet poétique...
50 vers parfumés comme 50 roses, c'est plus original que 50 bougies !
Je t'aime tant mon mari génial....
Ta Philaly
que je ne résiste pas à partager avec nos CréAmi(e)s
Un seul aurait suffi où j'aurais dit : « je t'aime »
Mais tu me connais bien quand je lève mon encre
Sur un quatrain bien vite la rime s'échancre
Et le tercet s'allonge au gré de mon poème
Le quatrain suffisait où j'aurais dit : « je t'aime »
À quoi bon s'arrêter puisque l'élan m'a pris
J'ouvre un peu plus mes bras au vent qui me sourit
Il me souffle à l'oreille une idée que je sème
Un sonnet suffisait où j'aurais dit : « je t'aime »
Il aurait pour cela fallu me retenir
S'arrêter à ce vers, ne plus y revenir
Il est déjà trop tard, voici le quatrième !
Trois quatrains suffisaient où j'aurais dit : « je t'aime »
Mais je ne compte plus, les chiffres se mélangent
Tout autant que d'amour à offrir à mon ange
Que celui qu'elle écrit et dont il est le thème
Tous ces mots suffisaient où j'aurais dit : « je t'aime »
Mais tu as mis en moi la drôle d'habitude
D'étirer ma pensée jusqu'à la plénitude
Comme autant de diamants sertis en diadème
La page aurait suffi où j'aurais dit : « je t'aime »
Nous voulions la tourner une dernière fois
Ensemble et pour toujours et signée « Toi et Moi »
Mais c'était sans compter ce drôle d'anathème
Ma vie aurait suffi où j'aurais dit : « je t'aime »
Mais cette poésie joue de l'éternité
Sous les doigts d’Érato, écoutons la chanter
Dans la ruche étoilée, les abeilles essaiment
L'univers suffisait où j'aurais dit : « je t'aime »
Mais il paraît pourtant que Dieu ou le Quantique
Ont ordonné la vie d'Après Métaphysique
À l'aune d'un Big Bang et du Pareil au même
Ton corps m'aurait suffi où j'aurais dit : « je t'aime »
Je ne saurai pourtant jamais où se termine
Et le creux de ta main quand elle vient et chemine
Et ton sourire enfin quand je goûte à sa crème
Ton cœur me suffisait où j'aurais dit : « je t'aime »
Et d'années en années, nous regarder vieillir
Un poème d'amour qui ne veut pas mourir
La faim que j'ai de toi ne finit que par M
Mon bonheur suffisait où j'aurais dit : « je t'aime »
De l'écrire un peu plus et de l'écrire encore
Toujours et à jamais, à la vie à la mort
Pour finir en fantôme et qu'on se dise « idem »
Plus rien ne suffira quand je dirai : « je t'aime »
Que cette phrase courte aussi douce que belle
Trois petits mots de rien qui vont en ribambelle
S'amuser sur ta bouche en baisers de phonèmes
Comme il est doux d'aimer, de te dire : « je t'aime »
Et d'aller aussi loin que ce vers cinquanti'aime !
LACRYMA - 28/02/2016
Encore Merci pour ce superbe bouquet poétique...
50 vers parfumés comme 50 roses, c'est plus original que 50 bougies !
Je t'aime tant mon mari génial....
Ta Philaly
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